La prévoyance – vous avez dit ennuyeuse?

La prévoyance, n’est-ce pas un peu monotone? «Pas du tout», répond Jeannine Frey en riant. «Nous avons ici affaire tous les jours à des personnes et des parcours de vie passionnants. C’est loin d’être ennuyeux!» Avocate de formation, Jeannine travaille depuis cinq ans chez CONCORDIA. «La prévoyance m’a toujours fascinée, parce qu’elle est à la fois complexe et fondamentale. C’est d’ailleurs un sujet sur lequel nous devrons tous et toutes nous pencher au plus tard au moment de partir à la retraite.» Elle comprend cependant très bien que la prévoyance ne soit pas souvent à la tête des secteurs les plus convoités des demandeurs et demandeuses d’emploi. «Beaucoup de personnes ne savent pas que la branche offre de nombreuses possibilités de carrières intéressantes», ajoute-t-elle. 
 

Le domaine Vie s’occupe de l’ensemble du travail administratif en lien avec les produits de prévoyance de CONCORDIA. «Nos 27 collaborateurs et collaboratrices effectuent des tâches très variées. Certain·es vérifient les propositions d’assurance, d’autres répondent aux questions de la clientèle et des collègues en interne ou s’occupent du versement des prestations.» Un large éventail d’activités réparties en différents postes: collaborateur du service-clientèle, experte en underwriting ou spécialiste en prestations, pour n’en citer que quelques exemples.

Pas étonnant donc que l’on retrouve des profils professionnels divers et variés: «La formation des collaborateurs et collaboratrices dépend grandement du type d’activité exercé. Au service-clientèle, une expérience dans le commerce est un atout. Pour ce qui est de l’underwriting, c’est-à-dire l’examen du risque, il faut posséder des connaissances solides sur les assurances ou un bagage dans le milieu médical. C’est pourquoi nous employons aussi des infirmiers et infirmières ainsi que des assistants médicaux et assistantes médicales.» Mais l’expérience ne fait pas tout: «Certes, c’est d’autant mieux si les personnes sont expérimentées dans le domaine en question. Mais la soif d’apprendre et la curiosité sont pour moi des qualités tout aussi décisives lors du recrutement.»
 

Quand l’été touche à sa fin et que l’automne s’installe peu à peu, c’est l’effervescence sur le marché des assurances. Vers la fin de l’année en effet, de nombreux contrats d’assurance sont conclus ou modifiés. Une situation qui touche aussi les assurances de prévoyance. À cette saison, les équipes de CONCORDIA ont donc fort à faire: «Il est important pour nous que les collaborateurs et collaboratrices restent en forme, motivé·es et énergiques également dans les périodes les plus intenses. Nous gardons donc toujours un œil sur leur charge de travail et prenons les mesures nécessaires quand ça s’impose.» De manière générale, Jeannine veille à ce que les personnes de son équipe se sentent à l’aise et s’entendent bien.
 

 

La prévoyance privée apporte une sécurité financière contre les événements qui surviennent sans prévenir, comme un accident ou une maladie. Mais elle occupe aussi une place de plus en plus importante pour la population de Suisse au vu de la diminution des rentes de vieillesse. «Chez CONCORDIA, le thème de la prévoyance revêt également une importance croissante, raison pour laquelle nous élargissons régulièrement notre offre», explique Jeannine. CONVITA, la solution de prévoyance du pilier 3a, est d’ailleurs très appréciée des clients et clientes. Et les ventes de l’assurance de capital risque DIMA, un produit du pilier 3b, vont également bon train. Et Jeannine n’entend pas s’arrêter là: la férue de golf et de tennis veut poursuivre l’expansion du secteur de la prévoyance chez CONCORDIA et continuer de proposer des solutions hors pair à la clientèle. Une chose est sûre, la monotonie ne sera pas au rendez-vous.