Demoiselle d’honneur à la Fête fédérale de lutte suisse et des jeux alpestres: «Un véritable privilège»
Endosser le rôle de demoiselle d’honneur à la Fête fédérale de lutte suisse et des jeux alpestres (la «Fédérale», FFLS), Samira Gräub en rêve depuis longtemps. Cette année, son voeu sera exaucé! Récit à coeur ouvert d’un engagement au service de la tradition.
Tout simplement
Samira Gräub est demoiselle d’honneur à la Fête fédérale de lutte.
Elle porte une robe spéciale.
Elle a toujours rêvé de devenir demoiselle d’honneur.
Vous pouvez gagner des billets pour la fête.
Être sélectionnée comme demoiselle d’honneur à la FFLS est un véritable privilège. Figures de proue du cérémonial qui ponctue la «Fédérale», les douze heureuses élues oeuvrent comme ambassadrices de charme tout au long de la manifestation, qui se déroulera cette année du 26 au 28 août à Pratteln (BL). Samira Gräub est l’une d’entre elles. «La lutte est un sport qui m’a toujours fascinée. Depuis que je suis toute petite, je souhaite de tout mon coeur être demoiselle d’honneur», confie-t-elle.
Dans la continuité des traditions
Pour Samira, cette passion s’inscrit avant tout dans le respect des traditions. «Nos ancêtres nous ont transmis leurs coutumes et il est important de les cultiver. Sinon, les traditions vont se perdre. Comme tout va très vite de nos jours, cela fait du bien de nous reconnecter à nos origines de temps à autre», explique cette ébéniste, qui travaille aussi dans l’agriculture. Elle cite à titre d’exemple le costume folklorique des demoiselles d’honneur: «L’habit traditionnel existe depuis très longtemps et a peu changé au fil du temps. Je trouve cela totalement fascinant! La couture, mais aussi la confection de l’habit folklorique, sont des savoir-faire qu’il faut perpétuer et valoriser.»
Comment devient-on demoiselle d’honneur?
Aussitôt une «Fédérale» terminée, un appel aux candidates à la fonction de demoiselle d’honneur pour l’édition suivante est lancé auprès des associations et clubs de lutte. «La procédure de candidature est classique: on réalise un entretien, une séance photo et on répond à un test sur la lutte», explique Samira. «Si on connaît le monde de la lutte et ses traditions, le test n’est pas particulièrement compliqué. Pour l’entretien, c’est une autre paire de manches, parce qu’on ne sait pas à quoi s’attendre. C’est un vrai défi!», explique-t-elle dans un éclat de rire. Fin décembre 2019, Samira a appris qu’elle avait été sélectionnée comme demoiselle d’honneur pour la FFLS de 2022.
Gagnez des billets!
Partenaire couronne de la FFLS, CONCORDIA met en jeu des billets pour l’événement des superlatifs à Pratteln (BL).
Bonne chance!